lundi 18 septembre 2017

Visa pour l'image - Des yeux partout dans le monde

Mes aventures romaines m'ont fait prendre du retard dans la rédaction d'arcticle, mais je tenais quand même à vous faire partager mes deux jours à Visa pour l'image. Il s’agit d’un festival de photojournalisme et cela permet de prendre des nouvelles de la planète.






Le monde va mal


Ce n’était pas la première fois que je me rendais à ce festival. Ayant vécu longtemps à Perpignan, j’ai été un de ses habitués pendant des années. C’est peut être parce que je ne l’avais pas fait depuis cinq ans que j’ai eu le sentiment que les photos et les expositions étaient particulièrement dure. Beaucoup d’image de Guerre, d’Irak et de Syrie. Des corps décharnés, des visages tristes et apeurés. Parfois du désespoir. C'est terrible de voir cela, mais pourtant le travail fait par les journalistes est important. Il permet à ce que personne ne puisse dire qu'il n'était pas au courant.

J'ai aussi vu des expositions sur les conséquences de ses guerres, et notamment sur le sort infligé aux migrants. J'ai le sentiment que nous européens, sommes des privilégiés, et nous laissons mourir à nos portes de nombreuses familles, qui fuient la guerre en ayant peu de chances de survie. Heureusement que des actions ont lieu pour les aider, ainsi chacun peut agir. 

Témoignage de réfugiés

Les femmes en première ligne


Quelque soit l’histoire, le lieu ou le moment, le sort des femmes est pire. Dans les pays en guerre et dans leur chemin d'exil, elle subissent des abus sexuelles, et quand elles ne sont pas violées, on les contraint à la prostitution. Elles sont obligées de faire de leur corps une marchandise pour pouvoir manger et survivre. C'est d'ailleurs un principe de base de nos sociétés, quelque soit l'endroit du monde, les femmes sont moins bien traitées. C'est le cas aussi dans les pays occidentaux, car elles gagnent toujours moins que les hommes, elles occupent moins souvent des postes importants, que cela soit dans la classe politique ou au sein des grandes entreprises. C'est d'ailleurs pour cela que dès qu'une femme occupe un poste important, on la mets en avant, parce que c'est rare. Il est plus dure d'être une femme qu'un homme.

La pollution


C’est l’autre thème que je retiens de ce que j’ai vu. Une exposition parlait de la Chine, et des conséquences de la pollution. Des images d’enfants le nez dans la poussière, sans pouvoir respirer de l’air pure. La pauvreté pousse les familles à vivre dans des lieux insalubre. A cause des anciennes mines de charbon, le sol s'effondre et la nature est dévastée. Afin d'avoir plus de rendement, les mines sont maintenant à ciel ouvert, créant des montagnes de terre qui menace de s'abattre et de détruire les terres des paysans vivant à côté.
Il y avait aussi des exposition sur les premiers réfugiés climatiques, et sur le sort d'îles au sein de l'océan pacifique, dont l'existence est voués à disparaître. Des cultures vont se perdre, et des peuples vont devoir partir. C'est triste, pourtant, à mon sens, pas assez n'est fait pour diminuer notre pollution. Nos descendants vivront encore pendant longtemps dans nos poubelles.






Il y avait bien sur d'autres reportages, certain plus léger, mais ce n'est pas ce que j'en ai retenu. Le visa Off m'a permis de m'aérer l'esprit, et il en avait besoin.

Des Bisous

Guillaume

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